Pas de trêve pour les inégalités

Brève
03/11/2022

Le 1er novembre marque le début de la trêve hivernale des expulsions locatives. Si cette trêve accorde un répit aux plus pauvres, à l’exception toutefois de ceux qui vivent en foyer ou dans un hôtel, elle ne résout rien et les expulsions recommenceront après le 31 mars. La Fondation Abbé-Pierre vient de dénoncer leur augmentation de 25 % pour l’année 2015, ajoutant qu’en termes de personnes, « c'est une ville équivalente à Belfort [51 000 habitants] qui serait contrainte de partir chaque année ».

Et il existe une loi qui garantirait « un droit au logement »… Sinistre fumisterie !