«Syriza, c'est la sortie de l'euro, la fin de l'aide financière et le chaos », voilà en substance ce qu'a voulu faire croire la Troïka - le FMI, la BCE et Bruxelles - pour décourager les électeurs de voter Syriza. Eh bien, son chantage n'a pas marché. Le peuple grec ne s'est pas laissé impressionner. En votant massivement pour la gauche radicale, il a rejeté l'austérité et les sacrifices, il peut en être fier !Depuis 2009, les Grecs ont vu leurs... Lire la suite >